J’avoue que j’ai longtemps cru que le surimi était fait avec les déchets de crabes et de poissons. J’avoue que sa couleur orange ne m’inspirait pas confiance. Mais ça, c’était avant de participer à un évènement organiser par Fleury Michon, qui joue la carte de la transparence.
Le groupe lance une campagne de pub « Venez vérifier », dans laquelle vous allez découvrir tous les secrets de la fabrication du surimi. Fleury Michon est allé en Alaska pour réaliser de mini-reportages sur la pêche du colin en compagnie de Nick, Rob et Glenn, avant de revenir en France et de vous dévoiler sa recette et ses secrets de fabrication.
Fleury Michon souhaite ainsi rappeler que son surimi est composé de 40% de chair de poisson (colin d’Alaska et merlu blanc), auquel on ajoute de l’amidon, du blanc d’œuf, du sel, de l’huile de colza, des arômes de crabe et des extraits de paprika. Il n’y a ni conservateur ni additifs. Ce qui n’est bien-sûr pas le cas de tous les surimis que vous trouvez au rayon frais de votre supermarché.
A l’occasion du lancement de l’opération, Fleury Michon souhaite inviter 3 consommateurs tirés au sort sur son site, cinq blogueurs et deux journalistes à venir «vérifier» le procédé de fabrication, de la pêche au colin en Alaska, jusqu’à son usine en Vendée. Je ne suis pas en course pour le voyage, mais je connais quelques copines très motivées!
Vous pouvez d’ores et déjà vérifier quelle est l’origine de la recette du surimi et quels sont les ingrédients qui la composent :
Si vous voulez suivre Nick, Rob et Glenn, les trois pêcheurs de colin en Alaska, venez vérifier sur fleurymichon.fr !